reponse 2

reponse 2 SI ELLE EST CONSCIENTE !!!!!!!!!

Bonjour pouvez vous détailler la réponse et la justifier ce serait plus constructif que des points d'exclamation, s'il vous plaît !
Je passe le B.N.S.S.A. en ce moment et j'ai eu cette question en examen blanc, en correction nous avons eu les réponses suivantes :
il vaut mieux extraire la victime rapidement, et ce même si elle est consciente et
un des facteurs aggravant peut être l'ypothermie
Cet examen date certes de 2013 et notre formateur m'a justifiée sa réponse (car j'ai coché comme vous) que si le fait que la victime restant dans l'eau pouvait risquer l'hypothermie (diminution t° corporelle) associé à un épuisement musculaire étant des facteurs qui facilite la noyade n'était il pas plus vital de la sortir de l'eau ? Puisque l'une de ses fonctions vitales est en danger (obstruction brutales des voies aériennes ou inconsciente)? Bilan d'urgence vital à faire en cas de danger immédiat pour les fonctions vitales de la victime ? De plus dans ce cas Il est conseillé de sécher la victime et de la réchauffer. De plus lors d'interventions il est rare que l'on se retrouve seul et nous pouvons nous assister de personnes de l'établissement formés et diplômés aux premiers secours PSC1 ainsi que du brancard aquatique.
Pouvez vous s'il vous plaît m'éclaircir sur le sujet ? Je suis vraiment en interrogation ? Sachant que le bilan vital n'excède pas 30 secondes ! Quelle est la législation et qu'elle est la réalité ? Merci Solène

Salut Eulalias,

Pour la légis' du BNSSA, beaucoup de questions/réponses sont formulées de manière imprécises.
Pour réussir l'examen, il suffit de bêtement apprendre les combinaisons réponses/questions.

Dans les faits en cas de trauma du rachis, tu vises toujours l'immobilisation de l'axe tête-cou-tronc.
SAUF en cas d'urgence vitale, à savoir OVA, hémorragie ou inconscience, qui prime toujours sur la notion de trauma. Il faut donc assurer une sortie d'eau la plus rapide, et la plus propre bien évidemment, que possible.

Dans la question, cette notion d'urgence vitale n'étant pas mentionnée, on part du postulat que la victime est consciente, respire normalement et ne saigne pas.